Projection gratuite « Blackfish » – C’est Assez !

Le samedi 18 mars 2017, à partir de 20h00, au bar Le Kryptonic.

Le Groupe Local Grand Ouest de l’association C’est Assez ! vous invite à une projection gratuite du film « Blackfish », un documentaire essentiel de Gabriela Cowperthwaite, sorti en 2013, et dénonçant la captivité des orques à travers l’histoire de Tilikum, mort au SeaWorld d’Orlando en janvier dernier après 34 ans de captivité.

POUR DES RAISONS DE CAPACITÉ DE LA SALLE, INSCRIPTION OBLIGATOIRE PAR MAIL POUR ASSISTER A LA PROJECTION. Merci d’envoyer un mail à l’adresse mail ci-dessous avec les éléments suivants : nom, prénom, numéro de téléphone et nombre de participants.

cestasseznantes@gmail.com

Projection ouverte à tous, dans la limite des 50 places disponibles dans la salle. Accès : bus C1 (arrêt St-Clément), ou parking payant Cathédrale.

Évènement facebook

Projection du documentaire The Cove au Ferrailleur

Le samedi 29 août 2015, à 19h30, C’est Assez – Groupe Local Grand Ouest diffusera pour la première fois à Nantes le fameux documentaire oscarisé de Louie Psihoyos: The Cove. Ce film distribué en France par Luc Besson, sera projeté dans la salle mythique du Le Ferrailleur – Café Concert. Cette projection gratuite sera suivie d’échanges avec le public.

Compte-rendu de la Journée Pour la Fermeture des Abattoirs du 18 octobre 2014

Samedi 18 octobre 2014, le Collectif Nantais Pour les Animaux, aidé d’L214 et du Collectif Rennais Pour les Animaux organisait une Journée Pour la Fermeture des Abattoirs.

C’est un compteur humain indiquant, en temps réel, le nombre d’animaux terrestres tués dans les abattoirs qui a lancé cette journée. En 1 heure d’happening, ça n’est pas moins de 7 200 000 animaux qui ont été exécutés pour le plaisir du ventre.

En parallèle, un triangle composé d’une quinzaine de personnes tenant dans leurs mains des images d’abattoirs, interpellait les badauds sur la réalité des ces lieux de souffrance et de mort.

Les passants avaient également la possibilité de se renseigner au stand d’information ou auprès des militants qui distribuaient des tracts.

Les activistes ont ensuite pu recharger leurs batteries en se réunissant pour un pique-nique végétalien, avant d’assister à la projection de l’Adieu au Steak et de débattre autour de ce documentaire.

La journée s’est poursuivie par une conférence autour de l’abolition de la viande, animée par Yves Bonnardel, puis par un dîner végétalien.

Tout au long de la journée, c’est une petite centaine de personnes qui se sont réunies pour demander la fermeture des abattoirs.

Plus d’informations :

http://fermons-les-abattoirs.org/

http://www.meat-abolition.org/fr

Journée pour la fermeture des abattoirs à Rennes

Le samedi 28 septembre 2013 à Rennes aura lieu une journée pour la fermeture des abattoirs et la fin de l’exploitation animale organisée par plusieurs associations et collectifs de l’ouest de la France, dont le Collectif nantais pour les animaux. Des co-voiturages seront mis en place depuis Nantes pour participer à cette journée.

Il est grand temps de revendiquer haut et fort l’abolition de l’esclavage des animaux, l’abolition des pratiques qui leur causent les plus grands torts : l’élevage, la pêche et l’abattage.
On estime que chaque année dans le monde, ce sont ainsi 60 milliards d’animaux terrestres et plus de 1000 milliards de poissons qui sont tués sans nécessité, soit environ 160 millions d’animaux terrestres et 3 milliards de poissons tués chaque jour.

Affiche de la journée pour la fermeture des abattoirs à Rennes
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Semaine pour la liberation animale

Des opposants à l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes organisent du 5 au 11 août une semaine de discussions politiques autour de la libération animale :

Affiche de la semaine pour la Liberation Animale à la ZAD

Partout dans le monde, chaque jour, des milliards d’animaux non-humains de toutes espèces souffrent et meurent pour assouvir les besoins de l’humanité. C’est ce que nous nommons exploitation animale.

Le capitalisme moderne l’a bien compris, lui qui a porté cette exploitation et les souffrances qu’elle engendre à un degré jamais atteint auparavant, à travers la production de viande, lait, œufs, cuir et miel, l’expérimentation sur animaux en laboratoire, ou l’anéantissement pur et simple d’écosystèmes et des êtres qui y vivent. Toutes ces pratiques ont pour but d’accroître les profits des classes dirigeantes, permettant au passage de maintenir en place le mode de vie d’une grande partie de la population mondiale, particulièrement dans nos pays riches, qui dépend des produits animaux.

Il est toutefois rare, même au sein des mouvements anarchistes et anticapitalistes, que la question de l’oppression des animaux soit abordée. Nous, groupe d’individu-e-s anticapitalistes et antiautoritaires, sommes pourtant convaincu-e-s que l’émancipation des humain-e-s n’a guère de sens si elle ne s’accompagne pas de l’émancipation de tous les êtres vivants. Nous ne pensons pas que les animaux non-humains nous soient inférieurs ni qu’il soit légitime de les faire souffrir, pour quelque raison que ce soit. De même que nous luttons au quotidien pour tenter d’en finir avec les systèmes de domination capitaliste, sexiste, raciste et autres, nous voulons nous battre pour donner une chance aux animaux de vivre leurs vies sans meurtre, enfermement ni torture.

Nous ne pensons donc pas que la solution soit de réformer le système de l’exploitation animale pour le rendre plus supportable. Nous ne réclamons pas des cages plus grandes pour les poules en batterie, mais la suppression des cages et de l’usine qui va avec. La libération animale est à nos yeux une nécessité éthique qu’aucun élevage raisonné ne suffira à mettre en œuvre. Nous n’avons cependant pas de solutions toutes faites : le véganisme au niveau individuel, c’est à dire le fait de ne consommer aucun produit issu de l’exploitation animale, n’est clairement pas à lui seul une solution à un problème global.

Plusieurs d’entre nous vivent et luttent sur la ZAD, lieu de lutte contre un aéroport mais aussi contre le monde capitaliste qui l’engendre. Ici des millions d’animaux sont menacés par le bétonnage, mais à l’heure actuelle ce sont déjà des milliers d’animaux d’élevage qui vivent ici enfermés, souvent avant une mise à mort à plus ou moins longue échéance. Beaucoup de personnes qui participent à cette exploitation sont pourtant des habitant-e-s qui luttent ici contre le même ennemi que nous, pour la plupart depuis bien plus longtemps que nous. Tout cela rend la lutte contre l’exploitation animale encore plus d’actualité ici qu’ailleurs, mais également difficile à mener au sein d’un mouvement qui refuse en grande partie de la considérer comme une domination à abattre. Nous pensons pourtant qu’il y aurait beaucoup à construire ici à ce sujet, dans une lutte qui semble avoir ouvert une brèche en France à la question des animaux et de la nature.

C’est pourquoi nous invitons sur la ZAD du 5 au 11 août toutes les personnes intéressées par la question animale et se reconnaissant dans des principes antiautoritaires. Nous aimerions faire de cette semaine un espace de rencontre de gens impliqué-e-s ou désireux/ses de s’impliquer avec des bases radicales dans la lutte pour les animaux, ainsi qu’un espace de débats sur l’exploitation animale en général et au sein des luttes sociales, sur la ZAD et ailleurs.

Pour plus d’informations : http://antispezad.noblogs.org/